Les acteurs de l'archéologie
Depuis plus de 150 ans, le rôle des organismes impliqués dans l'archéologie de terrain a changé en fonction des conditions générales de l’organisation de la recherche.
La Société archéologique de Touraine (SAT) a été fondée en 1840. C’est le premier organisme fédérant des savants ou des érudits, comme on les appelait alors. Son rôle a été majeur pendant plus d’un siècle, jusqu’à ce que l’accélération du rythme de la construction et des réalisations urbanistiques ne se satisfasse plus de l’intervention de bénévoles, quel que soit leur dévouement.
Le Laboratoire d’archéologie urbaine de Tours (LAUT) fondé en 1973, au sein d'une association, marque le premier pas vers la professionnalisation de l’archéologie. Associant étroitement interventions d’urgence et fouilles de longue haleine, il a pendant deux décennies assuré le développement d’un programme fondé sur l’archéologie de terrain et entièrement axé sur l’histoire de la ville.
Le laboratoire Archéologie et territoires (LAT) a intégré depuis le début des années 1990 l’action du LAUT. Unité mixte de recherche entre l’Université de Tours et le CNRS, le LAT inclut le programme de recherche sur l’histoire de la ville, dont les résultats sont publiés depuis 1981 dans la collection « Recherches sur Tours ».
L’atelier Histoire de Tours, créé au Logis des Gouverneurs du Château de Tours, à l'initiative du LAUT, présente depuis 1986 les résultats de la recherche sur la ville, en priorité à destination du public scolaire. Il est maintenant intégré au service du Patrimoine de la Ville de Tours.
L’Association pour les fouilles archéologiques nationales (Afan) s’est vu confier par le ministère de la Culture, dès le début des années 1990, les opérations d’archéologie préventive à Tours. Son développement et la professionnalisation de ses personnels en matière d’archéologie préventive ont conduit à une redistribution des rôles.
L’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) est, depuis sa création en 2001, l’opérateur exclusif à Tours en matière d’archéologie préventive.
Le centre de recherche de l’Inrap à Tours compte une cinquantaine d’archéologues qui interviennent tout le long de l’année en Touraine.
Le Service régional de l'archéologie (SRA) a pour mission d’inventorier, étudier et protéger le patrimoine archéologique, de programmer, contrôler et évaluer la recherche scientifique tant dans le domaine de l’archéologie préventive que dans celui de la recherche programmée et d’assurer la diffusion des résultats.
Le Centre National d'archéologie Urbaine du ministère de la Culture et le Service d’archéologie départemental de l’Indre-et-Loire font partie intégrante du contexte dans lequel s’inscrit la recherche archéologique urbaine locale, bien que leur action ne porte pas spécifiquement sur la ville de Tours.
La Société archéologique de Touraine (SAT) a été fondée en 1840. C’est le premier organisme fédérant des savants ou des érudits, comme on les appelait alors. Son rôle a été majeur pendant plus d’un siècle, jusqu’à ce que l’accélération du rythme de la construction et des réalisations urbanistiques ne se satisfasse plus de l’intervention de bénévoles, quel que soit leur dévouement.
Le Laboratoire d’archéologie urbaine de Tours (LAUT) fondé en 1973, au sein d'une association, marque le premier pas vers la professionnalisation de l’archéologie. Associant étroitement interventions d’urgence et fouilles de longue haleine, il a pendant deux décennies assuré le développement d’un programme fondé sur l’archéologie de terrain et entièrement axé sur l’histoire de la ville.
Le laboratoire Archéologie et territoires (LAT) a intégré depuis le début des années 1990 l’action du LAUT. Unité mixte de recherche entre l’Université de Tours et le CNRS, le LAT inclut le programme de recherche sur l’histoire de la ville, dont les résultats sont publiés depuis 1981 dans la collection « Recherches sur Tours ».
L’atelier Histoire de Tours, créé au Logis des Gouverneurs du Château de Tours, à l'initiative du LAUT, présente depuis 1986 les résultats de la recherche sur la ville, en priorité à destination du public scolaire. Il est maintenant intégré au service du Patrimoine de la Ville de Tours.
L’Association pour les fouilles archéologiques nationales (Afan) s’est vu confier par le ministère de la Culture, dès le début des années 1990, les opérations d’archéologie préventive à Tours. Son développement et la professionnalisation de ses personnels en matière d’archéologie préventive ont conduit à une redistribution des rôles.
L’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) est, depuis sa création en 2001, l’opérateur exclusif à Tours en matière d’archéologie préventive.
Le centre de recherche de l’Inrap à Tours compte une cinquantaine d’archéologues qui interviennent tout le long de l’année en Touraine.
Le Service régional de l'archéologie (SRA) a pour mission d’inventorier, étudier et protéger le patrimoine archéologique, de programmer, contrôler et évaluer la recherche scientifique tant dans le domaine de l’archéologie préventive que dans celui de la recherche programmée et d’assurer la diffusion des résultats.
Le Centre National d'archéologie Urbaine du ministère de la Culture et le Service d’archéologie départemental de l’Indre-et-Loire font partie intégrante du contexte dans lequel s’inscrit la recherche archéologique urbaine locale, bien que leur action ne porte pas spécifiquement sur la ville de Tours.